l’occasion de la visite en Tunisie du président français Nicolas Sarkozy, Souhayr Belhassen, la présidente fraichement élue de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH), était l’invité du journal de l’international de la chaine d’information continue, iTélé.
Lors de cet entretien, Mme Belhassen a formulé le souhait de la fédération de ne plus faire face à « la même complaisance et à la même cécité de l’ancien président Jacques Chirac » en espérant une défense, où du moins, une reconnaissance de la part de la France du travail de la société civile tunisienne. Une société civile dont les membres, comme la relevé Mme Belhassen, subissent des pressions quotidiennes allant jusqu’aux agressions physiques et à l’emprisonnement pour les cas les plus extrêmes.
La présidente de la FIDH, s’est également inquiétée des dérives relatives aux arrestations dans le cadre des nouvelles lois antiterroristes en dénonçant les traitements inhumains et les procès inéquitables qui accompagnent ce dispositif. L’entretien s’est achevé sur la question de l’immigration et les projets d'accords de partenariats avec les pays du sud pour une immigration choisie qui serait pour Mme Belhassen, « condamnable » parce qu’elle « écrémerait les pays producteurs d’immigration », les privant ainsi de leurs potentiel humain de développement.
Lors de cet entretien, Mme Belhassen a formulé le souhait de la fédération de ne plus faire face à « la même complaisance et à la même cécité de l’ancien président Jacques Chirac » en espérant une défense, où du moins, une reconnaissance de la part de la France du travail de la société civile tunisienne. Une société civile dont les membres, comme la relevé Mme Belhassen, subissent des pressions quotidiennes allant jusqu’aux agressions physiques et à l’emprisonnement pour les cas les plus extrêmes.
La présidente de la FIDH, s’est également inquiétée des dérives relatives aux arrestations dans le cadre des nouvelles lois antiterroristes en dénonçant les traitements inhumains et les procès inéquitables qui accompagnent ce dispositif. L’entretien s’est achevé sur la question de l’immigration et les projets d'accords de partenariats avec les pays du sud pour une immigration choisie qui serait pour Mme Belhassen, « condamnable » parce qu’elle « écrémerait les pays producteurs d’immigration », les privant ainsi de leurs potentiel humain de développement.
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