vendredi 10 octobre 2008

Beyrouth...







Alors que la moiteur de l’été déserte tes ruelles hystériques
Et tes milliers d’amants venus se nourrir de ta sève,
Tournent le dos à ta mer et à tes collines,
Par quelle ruse, toi, fille de joie
Me retiens-tu encore dans tes bras ?
Tu sais que je maudis ta légèreté malsaine
Et que je déteste tes faux airs de vierge miraculeuse,
Toi qui tues ceux qui te veulent sans partage,
Comment fais-tu pour que je puisse croire que tu m’appartiennes ?


M.K 09.10.08



2 commentaires:

  1. شنوة ؟ بيروت ردتك تشعر

    حلوة

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  2. Anonyme5:36 PM

    Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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