L’ombre de ton corps ambré me parcourt,
dessine, sur mon cœur, un pays lointain;
Un monde de frissons, de rêves et d’amour,
où je m’exile, volontaire et sans chagrin.
De mes doigts jaillissent tes contours,
preuve d’un feu loin d’être éteint;
Fermes et généreux, douceur de velours,
J’en deviens esclave, libre et contrains
Alors, tu te fais astre et je lévite autour,
enveloppant nos deux vaisseaux de satin;
L’un contre l’autre nous défierons le jour,
repoussant de nos désirs les lueurs du matin.
MK
Paris le 15.02.07
08:32 AM
08:32 AM
J'aime ton poème. Je me souviens d'ailleurs en avoi reçu un un jour.
RépondreSupprimerBonjour
RépondreSupprimerUn de moi ?
oui il me semble bien.
RépondreSupprimerG.